La gamelle assurée ou la glisse volupté…​


​​
Ce titre car peut être qu’aujourd’hui, dans ton activité, tu en arrives à être bloqué.e sur des points qui « devraient » être simples et fluides :​

Mettre en lumière ce que tu sais offrir de mieux ;​
Communiquer simplement, sans noeud au cerveau ;​
Réussir à mettre des mots sur ce que tu proposes ; ​

Avec toutes ces petites voix de merde dans la tête, tu…​

Crois que tu as besoin de sortir de l’ombre…​
Peux arriver à détester le « marketing »…​
Cherches partout pour créer cette fameuse offre…​

Alors que…​
Tu as simplement à rallumer ta lumière ; ​
Il te suffit de voir ces stratégies et outils comme de simples outils au service de ce qui t’anime ; ​
Tu peux avancer avec ce que tu sais, as et es. ​


Le truc, c’est que si tu continues à avancer la peur au ventre et les yeux rivés sur ce que font les autres…​
Ca ne sera pas juste. ​
Ni pour toi, ni pour ceux qui t’attendent. ​

Et tu créeras encore plus d’insatisfaction. ​
Sur ta propre situation et par ricochets sur une situation plus globale. ​

Tu sais, pour apprendre la glisse, ca ne se passe pas sur le sable. ​
Un peu, bien sûr, pour les bases :​
Se mettre bien en équilibre allongé.e sur la planche,​
Ramer, ​
Se mettre debout. ​

Mais le vrai jeu commence une fois au large. ​
Où tu n’as pas le choix que de commencer à « sentir » l’océan, en mouvement perpétuel. ​


Avec ton activité, quelque soit ton niveau, c’est pareil. ​
Etre souple, faire preuve de flexibilité, se lancer pour atteindre l’étape suivante.​
Obtenir des « petites » victoires qui nourrissent la certitude, renforcent la posture et… amèneront donc de nouvelles victoires. ​ ​

C’est tout ce qui compte. ​


Et c’est ce qu’on souhaite transmettre au sein de Croissance & Flow :​

  • Des fondations à vie​
  • Clarté, fluidité et simplicité​
  • Un meilleur schéma de pensées pour un meilleur quotidien​
  • Une activité claire avec un positionnement limpide​


    Avec une clé essentielle : ​
    Une vraie supervision de chaque membre avec l’aide adaptée à chaque étape. ​
    Sans en brûler aucune. ​
    Car chacun a ses propres compétences, son propre rythme et sa propre histoire. ​


    A toi de voir quelle histoire tu souhaites créer dès aujourd’hui… ​

Je savais simplement que je voulais être heureux​



Certains diront “qu’être heureux” n’est pas un bon objectif en soi.​
C’est pas faux.​
Quand je vois le chien de mes parents, il semble heureux avec quelques gratouilles, une bonne gamelle et des balades dans les rues paisibles d’Hossegor.​

En Terminale, ma prof de Lettres (j’ai fait un bac L) m’avait demandé où je souhaitais aller après le lycée.​
Je n’en savais pas grand chose et avais répondu “là où le vent me portera”​
(inspiré, c’est vrai, par le titre de Noir Désir).​
Un copain avait enchaîné en répondant qu’il “avait intérêt à souffler fort !” – le salaud, ca m’avait fait rire.​

Plus petit, avant mes 10 ans, de ce dont je me souviens, je m’amusais à apprendre dans un livre les drapeaux et capitales des pays.​
Ça me passionnait de voir cette si vaste carte du monde.​
Déjà là, je ne savais pas forcément ce que je voulais faire.​

Par contre, ce que je savais ?​
C’était que je ne voulais pas d’une vie “comme celle des autres”.​
Le 9h – 5h. Les vacances imposées du mois d’août. Tout ça tout ça.​

Je me suis toujours senti privilégié de mener cette vie dorée et baignée d’amour.​
Dorée par l’océan, le soleil, mon entourage.​


Les études puis les saisons m’ont offert cette liberté que je chéris tant.​
Mon expérience de nuit en multinationale à Malte, moins, mais j’ai beaucoup appris en 18 mois.​
Et ça m’a permis de me lancer.​

Pour être honnête, je me suis d’abord lancé à mon compte pour moi.​
Pour continuer à aller là où j’avais décidé, peut-être sans le savoir, de faire souffler le vent.​

J’ai ensuite continué (et continue toujours) cette activité, bien sûr pour moi, mais aussi pour les autres.​
Pas tous les autres (hey, je ne sais pas aider tout le monde et la grande majorité n’a aucun sens).​

Mais ceux qui ont le courage de dire “oui” à cette autre chose, qui peut faire flipper et qui est d’abord inconfortable. ​
Ceux qui savent qu’ils peuvent apporter tellement plus.​
Ceux qui se sentent moins conventionnels que la masse.​
Ceux qui décident de changer et d’améliorer leur quotidien, leur activité, leur façon de contribuer.​

Et quand je vois, au sein de Croissance & Flow, ces avancées, ces prises de conscience, ces victoires malgré les doutes, erreurs, peurs et croyances plombantes…​
Je trouve ça magnifique.​


Pour répondre de nouveau à ma prof de Lettres :​
C’est là où je souhaite aller.​
Car c’est ce qui me rend heureux.​
Chercher la croissance, avec les erreurs et l’inconfort que ça engendre.​
Être le maître de mon destin.​

C’est ce que je souhaite à tous !​

Celles et ceux qui m’inspirent – et pourquoi​



Lundi j’ai échangé avec une ancienne cliente, histoire de faire un point et papoter.​
Le lendemain, elle me dit que le simple fait d’avoir eu cette conversation l’a boostée avec à la clef deux nouvelles ventes de son coaching.​

Je trouve ça génial.​
Cependant, ce ne sont pas vraiment les ventes et le CA qui m’intéressent ici.​
Mais ce que ça signifie.​


Cela signifie que, grâce à ma modeste contribution, cette ancienne cliente va pouvoir à son tour influencer positivement deux personnes.​
Elle va leur apporter le soutien, l’éclairage, la boussole dont elles ont besoin.​
Pour pouvoir “sortir de l’ornière”, comme elle aime le dire.​

Par ricochets, ces deux personnes auront elles aussi une influence positive sur leur environnement.​
Et ainsi de suite.​

Ce qui fait que, potentiellement, un appel de 45 minutes a le pouvoir de changer plusieurs vies.​


Alors, je ne veux pas faire le Bisounours ici.​
Mais je crois vraiment que nous, cette génération de coachs, indépendants et entrepreneurs conscients, avons un rôle majeur à jouer.​
Pour influencer ce monde et le façonner, chacun comme il peut, à notre façon.​
Une personne à la fois.​

Quand je vois celles et ceux qui me font confiance, leurs projets, leurs aspirations, leurs avancées, je me dis que mon rôle est vraiment là :​
Les accompagner, avec ce que j’ai à leur apporter, dans le développement de leur activité.​
Pour qu’ils puissent à leur tour toucher plus de monde et apporter leur touche de magie.​

Et quand je vois celles et ceux que je fréquente ou suis, de près ou de loin, ce qu’elles réalisent, ces envies et missions qu’ils ont, ça m’inspire énormément.​

Alors merci à vous et on avance ensemble​

Votre plus grand fan​


Si vous n’êtes pas le plus grand fan de votre client, vous ne faites pas votre boulot.


Un client me partageait récemment ne pas vraiment croire en certains de ses propres clients.​
En conséquence, il ne se sentait pas de leur proposer une suite à son accompagnement actuel.​

Je lui ai fait remarquer que si je n’avais pas cru en lui lors de notre premier appel, alors que sa situation n’était pas des plus stables…​
Il n’en serait probablement pas là aujourd’hui, à signer et accompagner des clients.​

Ca l’a fait tiquer​
(tu m’étonnes).​


Un point important à retenir :​
On ne peut pas influencer quelqu’un qu’on juge.​


Si je l’avais jugé à l’instant T, sans voir au-delà, je ne lui aurais rien proposé.​
Il n’aurait pas fait x10 en quelques mois (!).​
Il n’aurait pas lui-même cette influence sur ses propres clients​
(sacré effet domino).​
Je ne serais pas digne de faire ce que je fais.​


La MasterCoach qui me forme au coaching nous répète régulièrement que l’un de nos devoirs est d’être inconditionnellement fan de nos clients.​
Ça ne veut pas dire être pote ou dire oui à tout.​
Ça veut simplement dire de croire en eux, en leur potentiel, même (et surtout) quand eux ne le voient pas encore.​

Pour que derrière la “magie” opère.​
Avec les résultats qui vont avec.​
Afin que tout le monde y gagne.​


Et vous, qu’est-ce que vous aimez le plus chez vos clients ?!​


Alexandre​

Le courage est souvent silencieux [4/5] ​


Le courage de…​

Se lancer,​
Proposer ses premières offres,​
Affronter ses peurs,​
Dire non,​
Dire oui,​
Refuser le plaisir immédiat pour privilégier celui long terme,​
S’affirmer,​
Poser son cadre,​
Voir plus grand,​
Écouter cette petite voix qui sait ce qui est bon pour nous mais est trop souvent étouffée,​
S’exposer,​
Évoluer…​

(tu complètes la liste avec moi ?)​

Tout ça se fait en silence.​
À l’abri des regards.​
Ou bien dans l’indifférence totale.​


Parce qu’au final…​
Accepter d’endosser ce costume de leader qui semblait bien trop grand,​
Commencer à recruter une équipe pour soutenir ses objectifs et sa vision,​
Changer son message pour le rendre plus vibrant…​

(là aussi je te laisse compléter la liste !)​

Tout ça se fait entre soi et soi.​
A travers des moments de stress,​
De solitude,​
De va-et-vient entre l’ancien et le nouveau modèle,​
Mais aussi de joie, d’enthousiasme et d’ivresse.​


Et quand le résultat arrive​
(le fameux “succès du jour au lendemain” qui demande tout ce temps et ces efforts),​
ça fait un peu plus de bruit.​
Ça en dérangera certains quand la majorité n’en aura rien à secouer.​

Et tu sais quoi ?​
C’est très bien ainsi.​
Car on est pas des Tony, des Oprah ou des [mets le nom que tu veux].​

Et les conséquences de ce courage iront directement toucher ceux qui comptent le plus pour nous : soi-même, en premier, les proches, les clients actuels et futurs. ​
Au final, c’est ce qui compte, non ?​
Le changement, chez soi et ses clients, se fera un pas après l’autre, une victoire après l’autre, une transformation après l’autre.​


Question : ​
Qui fait le plus preuve de courage ?​
L’entrepreneur chevronné qui, pour toucher plus de monde, décide d’envoyer 10 000 EUR de plus de budget sur ses pubs (avec le risque de ne pas les revoir) ?​
Ou l’indépendante qui décide d’élever ses standards pour mieux vivre de son activité et commencer à partager ce qui l’anime vraiment (avec le risque que ca fasse choux blanc) ?​

Perso, je ne sais pas. ​
J’aurais tendance à dire les deux.​


Chaque action entrainera ses avantages et inconvénients.​
Le courage, ça sera aussi d’en prendre la responsabilité.​
Et d’avancer, en silence, vers ce qui est juste pour soi.​

Ce message bruyant qui m’a fait m’égarer [3/5]

Hier je te partageais cette vidéo anodine et quelconque qui représente beaucoup pour moi.

Vidéo exemple de la foi qui m’animait pour avancer malgré ce brouillard épais.

Aujourd’hui je souhaite te raconter ce moment où l’ingestion sauce US m’a amené à m’égarer (et le cadeau derrière ça).

C’est encore le cas, bien sûr, mais de façon beaucoup plus détachée. 

Mais il y a quelques lunes j’étais biberonné aux contenus des entrepreneurs, blancs, mâles et anglosaxons.

Des mecs comme Grant Cardone, Gary Vee, Sam Ovens

(je te laisse compléter la liste en commentaire).

Du “hustle” à fond les ballons.

Du “more, more, more” en barre.

L’archétype du héros arrogant, qui cherche à écraser la compétition.

Pour qui se montrer vulnérable est inimaginable.

A l’époque, je me disais (je croyais) que les imiter serait top.

Après tout, ils m’inspiraient avec leurs résultats de dingue !

Alors j’ai commencé à faire comme eux.

A crier fort dans des posts, pour montrer (faire croire) que, moi, j’avais raison.

En mode “make it happen”.

Peut-être aussi pour justifier ma place (ou plutôt la chercher ?), va savoir.

Montrer que j’étais là.

Jouer un peu des coudes

(mais pas trop non plus car les “leaders” m’impressionnent trop).

Sauf que je me suis égaré.

Le rouge n’est pas du tout ma couleur.

Le feu, pas mon élément.

D’ailleurs l’eau est bien plus puissante, puisqu’elle éteint facilement un feu 😉

[Anecdote :

Au niveau de la symbolique, chose intéressante à noter :

A cette période, je faisais contracture sur contracture aux mollets, alors que je ne forçais pas plus que d’habitude dans mes footings et mon sport.

Mais rien n’y faisait. Sitôt l’une passée, une autre se déclenchait. Boom, je ne pouvais plus avancer.

Marrant hein]

J’ai mis du temps à réaliser que ce rôle du héros, qui montre comment faire pareil que lui, à grands coups de templates ou de copier/coller…

Ça ne m’allait pas du tout.

Pour moi qui cherche à ne pas être enfermé, imposer du tout-cuit à mes clients relève de l’absurde.

Ce chemin est le bon pour certains.

Mais ce n’était clairement pas le bon pour moi.

Et j’ai mis un petit moment à l’intégrer.

Les avantages à cet égarement ?

Ils ont été nombreux et décisifs.

J’ai pris le temps d’être critique par rapport à ce que je consommais.

De ne garder que l’essentiel, pour en extraire les grands principes

j’aime comprendre comment ça fonctionne et le restituer).

Ces grands principes, une fois intégrés et mis à sa sauce, offrent une vraie autonomie et indépendance.

Et c’est vraiment ça qui me tient à coeur.

Que chacun.e soit équipé.e au plus juste pour emprunter avec fierté, envie et détermination ce chemin qui est fait pour elles / eux.

Son propre chemin.

Pour continuer à explorer.

En gardant ça en tête, je sais que je ne peux plus m’égarer…

Cette conspiration, “malgré moi”, de l’Univers [2/5]​



J’ai beaucoup de tendresse quand je revois cette vidéo :)​
Si ça te dit, prends 5 minutes pour lire ce texte​


Cette vidéo, elle date de septembre 2017.​
A l’époque, je me chauffe tout seul à faire une vidéo de 1 minute par jour sur Instagram pendant 30 jours.​
Vidéos où je m’adresse à mes quelques centaines de followers achetés…​
(des idées foireuses, crois moi, j’en ai eues).​


Septembre 2017.​
Un an après avoir quitté mon emploi de nuit à Malte, je continue d’avancer sur la réalisation de deux de mes rêves :​

  • Avoir lancé mon activité (j’ai rejoint l’équipe d’un entrepreneur irlandais)​
  • Construire ma maison avec mon père (d’ailleurs tu peux voir que je me trouve dans la salle de bains en cours de chantier)​


    Je vais te dire un truc.​
    A ce moment-là, quand je me lance, je ne sais pas trop pourquoi je le fais.​
    Je ne sais pas à qui je m’adresse.​
    Ni comment.​
    Encore moins quoi proposer et vendre.​

    Je sais juste que je réponds enfin à ma vraie nature.​
    Mon besoin profond de ne jamais être enfermé.​
    D’avancer dans l’inconnu.​
    De ne pas faire ce 9h-17h de routine, auquel je sentais dès tout petit ne vouloir jamais adhérer (comme quoi).​

    Sans être encore dans ces valeurs, vision, mission et tout le touin-touin que je ne connais pas encore, je réponds à cette envie.​


    Apporter plus de lumière au monde ?​
    Sauver les ours blancs ?​
    Ça ne me parle pas.​
    Je sais juste que je fais ça pour moi, car c’est ce chemin. Mon chemin.​

    Je ne suis pas en mode rebelle à la Lorenzo Lamas (mets un like si tu te souviens de ces dimanches midis).​
    Mais en dehors du cadre.​
    Cadre que je comprends mais dans lequel je ne me retrouve pas.​


    Et quand j’y repense, je me dis que l’Univers a vraiment conspiré pour m’amener là.​
    (ou alors c’est moi, à travers mes pensées générées depuis tout petit ?​
    ou alors un mix des deux ?​
    Je m’amuse ici 🙂 et je te laisse choisir votre réponse)​


    Chronologie d’une histoire écrite :​

    • Septembre 2014 : après 3 ans de régal en saisons (marketing et commercial à Val d’Isère, plages à Hossegor), je décide de trouver un boulot chez moi, sans succès​

    • Mars 2015 : après 7 mois de recherches intenses. Toujours rien. Sauf qu’il me faut à tout prix une fiche de paie pour pouvoir réaliser un prêt et concrétiser cette opportunité de terrain à construire, chez moi à Capbreton​

    • Mai 2015 : aiguillé par un ami, j’atterris à Malte pour bosser de nuit au service clientèle d’une boite de gaming. Pas l’idéal mais je sais pourquoi je le fais.​
    Et je me dis, en regardant La Valette depuis Sliema, que dans maximum 18 mois je serai parti pour une nouvelle aventure.​
    Une intuition, comme ça…​

    • Avril 2016 : je rentre en vacances en France.​
    Il pleut des cordes.​
    Je pars voir mes beaux-parents.​
    Une de leur amie de plus de 30 ans, galloise, est là pour quelques jours.​
    Avec la pluie, ils restent à la maison, faute de mieux. ​
    Elle n’était pas censée regarder la pluie tomber.​
    Je n’étais pas censé la rencontrer.​

    Sauf que. ​
    Elle me parle avec son anglais parfait d’un projet avec un irlandais, qui grandit vite et va peut être avoir besoin de staff au support client et marketing.​
    Je ne comprends pas tout mais lui dis que je suis potentiellement intéressé​
    (je réfléchis à comment m’évader des nuits maltaises).​

    • Juillet 2016 : alors que je n’y pense pas du tout, elle me rappelle et me propose d’embarquer dans l’aventure.​
    L’occasion est idéale pour moi de me lancer à mon compte. ​
    Je ne sais pas trop ce qui m’est demandé mais je démarre avec eux en plus de mon taf de nuit.​
    Le seul Frenchy de la team.​

    • Octobre 2016 : 17 mois après mon arrivée à Malte, je quitte l’île et m’envole pour la plus belle des aventures : l’entreprenariat.​
    Je rentre à Capbreton, mets le bleu de travail et bosse sur la maison avec mon père : sols, peinture, électricité, etc.).​

    • Septembre 2017 donc : cette vidéo bien foireuse mais qui a le mérite d’exister.​
    Quelques mois plus tard, le début de l’aventure aux Emirats.​


    Ce texte est long, je sais.​
    Et peu de monde le lira.​

    Pourquoi j’écris tout ça ?​
    La clé ici que je souhaite partager, car ca a été prouvé vrai pour moi :​

    Avec du recul, et en listant cette série d’événements et de rencontres, je me dis que c’était quand même sacrément improbable que tout ça m’arrive.​
    Tellement improbable que ça ne peut être le fruit du hasard (hasard auquel je ne crois pas).​

    Je prends alors conscience pour la première fois de la conspiration de l’Univers.​
    Basé sur mes pensées, pour créer ma réalité, celle qui prenait vie dans ma tête.​

    Motivé par cette envie d’indépendance, d’épanouissement dans le mouvement et le voyage.​
    Avec comme désir ardent la liberté de la découverte, de moi et du monde. ​
    Et comme simple but de vivre une vie épanouissante et authentique, en dehors du cadre.​


    Pas “d’empire” (mais je t’en reparle vendredi).​
    Pas de faux message de bienveillance dégoulinante.​
    Pas de triche.​

    L’aventure commence pour moi.​
    Avec des vidéos foireuses.​
    Grâce à ça, et par voie de conséquence, je peux commencer à impacter positivement des personnes qui partagent mes valeurs.​


    Ca n’a pas été sans encombre.​
    Car sur ce chemin qui est tout seul droit et bien défini, je me suis égaré.​
    Et je t’en parle demain.​


    Toi qui es arrivé.e au bout et lis ces derniers mots :​
    Qu’est-ce que ça t’inspire ?​
    Te reconnais-tu dans certains moments ?​
    Hate de lire ça.​

    A demain​
    Alexandre​

[Mon chemin d’explorateur – 1/5]​


​Cette semaine, un contenu par jour poussés par l’envie de partager mon chemin, mes égarements et mes avancées, humblement et simplement​


Plus tôt aujourd’hui j’ai donné un live sur les peurs que chaque indépendant et entrepreneur peut rencontrer sur son chemin. ​

Et Facebook me propose ce souvenir d’il y a 3 ans.​
Une immersion de 3 jours initiée par Jules et Ben qui m’avait fait le plus grand bien. ​
Merci pour ce moment !​


[Retour en arrière]​


Début 2018 j’arrive avec ma femme aux Emirats, la fleur au fusil. ​
On ne sait pas trop à quoi s’attendre et on ne va pas etre déçus. ​

Administratif laborieux, zéro aide de sa boite pour la mise en place, manque de repères. ​
Tous les 3 soirs on hésite à faire nos sacs et rentrer en France. ​

Je passe mes journées dans une chambre d’appart hôtel aux murs jaunis et sombres. ​
Je ne m’en rends pas compte sur le moment mais ca me pèse énormément. ​

Je continue à bosser un peu pour l’irlandais avec lequel je m’étais lancé et bosse comme un dingue à côté pour développer mes propres services. ​

Enfin, quand je dis bosser comme un dingue ca veut surtout dire passer énormément de temps sur des actions qui ne valent rien et ne rapportent rien.​
Tu peux imaginer que le moral en prend un coup. ​


J’hésite même à partir sur du MLM mais sens que ce n’est pas là que je dois aller. ​
Une connaissance d’Abu Dhabi un peu filou me propose de faire son commercial en local.​
J’hésite. Le plan est en fait bien foireux. ​

Ma femme est transférée à Al Aïn et on y débarque fin mai. ​
C’est Ramadan, tout est fermé, il fait 45°. ​
On trouve un logement bien foireux mais qui dépanne. Et on se demande parfois ce qu’on fout là. ​


Fin juin, je laisse ma femme aux portes du désert et rentre à Hossegor pour l’été. ​
La décision avait été prise bien en amont et elle est salutaire. ​
Je retrouve les plages, les vagues et je souffle – j’en ai besoin. ​

Quand cette immersion m’est proposée fin septembre, je saute sur l’occasion. ​
J’ai envie de m’imprégner de cette énergie, de me faire challenger positivement. ​


Et, ca me fait sourire avec tendresse en y repensant. ​
Je me revois me challenger énormément pour, par exemple, faire des vidéos face caméra – chose qui me paraît aujourd’hui « normal ».​

Je commence à imaginer ce que je souhaite offrir. ​
Le début de ce que je propose à l’heure actuelle. ​
Mais j’ai peur !​
Peur du vide, du bide, du non, de me montrer, de… tout ça. ​

Alors que je maitrise tellement de sujets. ​
Que je peux offrir énormément. ​
Qu’avec mon niveau actuel, je peux aider et accompagner de nombreuses personnes. ​


La clé sur laquelle je m’appuie pour ne pas prendre mes jambes à mon cou ?​
La détermination. ​
La sensation, l’envie, la foi (!), pas forcément claires mais que je sens présentes, que c’est là que je dois aller. ​

Pourquoi ?​
Ca sera le sujet de mon contenu de demain :)​
Je te laisse ici pour aujourd’hui. ​


Si tu te reconnais dans ce que j’ai partagé (sauf j’imagine le passage à Al Aïn car il est assez improbable !), ce que je peux humblement te suggérer :​
Aie le courage de faire confiance en ton intuition. ​
Fais lui plus de place. ​
Trop longtemps je l’ai étouffée et ce n’a m’a pas aidé (tu m’étonnes). ​


A demain​

Et merci encore Ben, Jules et les autres pour cette immersion à La Rochelle, ca restera un beau souvenir :)​

Parcimonie, C.A et identité : le retour de Chris

Coaching sur la personne et stratégie sur les actions de l’entrepreneur :

Voilà les deux sujets de fond traités lors de cet accompagnement avec Chris.

Ancien sportif de haut niveau en escalade, Chris aime à se définir comme un entrepreneur-grimpeur et s’épanouit maintenant en tant que conférencier et coach.

Des actions menées avec parcimonie et selon son propre rythme,

Un investissement amorti avant même le début de l’accompagnement (ainsi qu’un C.A multiplié),

Une nouvelle identité forgée sur laquelle s’appuyer.

C’est ce que Chris partage lors de ce rapide retour spontané et chaleureux.

Vous vous retrouvez dans ce qui est échangé ?

Vous voulez à votre tour franchir ces blocages qui vous empêchent d’aller aux étapes suivantes ?

Après un rapide break, je vais rouvrir d’ici peu quelques places pour un accompagnement qui a comme maîtres mots Croissance et Flow.

Prenez RDV et voyons ce qu’on peut travailler ensemble pour aller plus loin.

Alexandre

Cette unique et seule stratégie qui rendra ton activité pérenne sur le long terme

Dans cette vidéo, je vais te présenter une stratégie, qui est vraiment plus une façon d’être dans ton quotidien au sein de ton activité.​

C’est ce que Jay Abraham, véritable pape du consulting marketing, appelle la stratégie de prééminence :​

En quoi elle consiste​
Comment tu peux l’appliquer dans ton activité​
Ce sur quoi elle te demandera de de concentrer​

A toi de jouer ;)​
Alexandre​