Pourquoi bosser une compétence = pisser dans un violon​


​Est-ce que tu as déjà suivi une formation pour acquérir une nouvelle compétence, sans qu’elle t’aide vraiment à avancer ?​
Si oui, ce texte est pour toi [3 minutes de lecture].​

Dis moi en commentaire si je me trompe mais…​
On voit (malheureusement) trop de coachs et thérapeutes sur-diplômés, hyper-formés…​
Et égarés.​

Ce que j’en pense, c’est que le focus n’est pas forcément mis au bon endroit.​


Alors, bien sûr que les compétences sont importantes.​
Je ne te dis pas le contraire.​
Je me suis beaucoup formé, au copywriting notamment, et je suis actuellement en formation certifiante coaching​
(je reviendrai sur ce point prochainement).​

D’ailleurs, lorsque je recopiais des pages de vente pour intégrer le mécanisme copywriting qui se cachait derrière ça, c’était top​
(ce côté psychologique m’excite à fond).​
Ça me permettait d’affiner ma compréhension, de mieux rédiger et d’attirer plus de personnes à moi.​

Mais…​
Est-ce que ça faisait sauter mes croyances limitantes et profondément enracinées ?​
Est-ce que mon (épais) syndrome de l’imposteur disparaissait ?​
Est-ce que, de façon cruelle pour moi, j’arrêtais de me comparer aux autres ?​

Non, non et non.​

Et ça coinçait toujours quand il s’agissait de faire preuve de certitude et de me placer comme la meilleure opportunité pour elles.​


Soyons clairs :​
Posséder des compétences, c’est bien et indispensable.​
Ça fait avancer. Ça nourrit. Ça rend plus… compétent (sans déc !?).​
Ça peut donner un boost de confiance pour entreprendre derrière.​

Mais si tu ne dézoomes pas, ne prends pas ce recul nécessaire pour oser aller travailler ton identité…​
C’est presque comme pisser dans un violon.​

Tu auras beau t’agiter sur la toile, essayer de faire plus de bruit…​
Ça restera du vent.​
Et surtout, à l’intérieur, ça ne sonnera toujours pas juste.​

Car tu resteras cette personne limitée.​
Qui a peur de gagner plus.​
Qui ne veut pas trop déranger.​
Qui ne s’autorise pas à embrasser son plein potentiel.​
Qui cherchera toujours à combler ce manque ressenti.​
Et malheureusement, tes prospects et clients potentiels le sentiront.​


C’est pour ça qu’au sein de Croissance & Flow, la stratégie vient après.​
Avec Sandra on a à coeur de parler à la personne, l’individu, avant l’entrepreneur.​

Pour transformer, petit à petit…​
Cette vision du monde qui n’est plus juste,​
Ces mécanismes désuets,​
Ces croyances devenues embarrassantes.​

Une bonne partie des personnes qu’on accueille sont déjà très bien formées.​
Certaines sont déjà passées par des accompagnements de masse et qui ne leur correspondaient pas (tu m’étonnes).​
C’est pour ça qu’on met l’accent sur le coaching individuel et le petit groupe.​
Pour des trucs de dingue (!).​


Bref, j’imagine que tu seras d’accord avec moi…​
Un être plus centré fera un meilleur entrepreneur.​
Et son impact positif n’en sera que plus puissant.​


Un investissement juste et sur toi ? ​
Ce pari sur ta croissance ?​
La plus belle chose que tu puisses offrir… à toi ainsi qu’aux autres.​

Ce point ô combien précieux​


Hier lors du Flow Live donné sur le groupe des Entrepreneurs en Croissance, on a discuté d’un point ô combien précieux.​


Aujourd’hui tu le vois si tu me suis, je suis plutôt à l’aise, à l’écrit comme à l’oral​
(même s’il y en a encore un peu sous le tapis.​
Hé, on va pas se mentir).​

Le moi d’il y a 5, 4, 3 ou même 2 ans ?​
Maladroit. Cherchant la validation extérieure. Me comparant. Avec beaucoup de bruit entre les deux oreilles. Pas le plus funky.​

Malgré ça, je n’ai pas voulu lâcher​
(ce n’était pas vraiment une option).​

C’est que, pour moi, se lancer à son compte, démarrer son activité, et avoir la foi qu’on va y arriver, quel que soit le chemin emprunté…​
Est la meilleure façon d’apprendre à se connaître et à s’accepter.​


Se connaître et s’accepter : les deux clés de l’estime de soi.​
Grâce à ce chemin, j’ai pu apprendre de ces deux clés et me transformer.​


Le truc, c’est que beaucoup parlent de viser toujours plus haut.​
Je suis d’accord.​
Mais à une condition.​

Que le plancher sur lequel on se trouve soit également surélevé.​
Car si tu te contentes de repousser le plafond…​
En restant au ras des pâquerettes…​
Tu ne risques pas de le toucher, ce plafond, même du bout du doigt.​

Et l’écart entre ce que tu acceptes et ce que tu souhaites sera toujours plus grand.​
Ce qui amplifiera fortement cette dissonance.​


Aujourd’hui, à quoi je dis oui et à quoi je dis non ?​
Ce sont de vraies questions, puissantes.​

Je me les suis posées pour la dernière fois en mai dernier, lors de ma mise au vert en Géorgie.​
Sur le point de quitter l’équipe de Julien Musy​
(j’étais coach au sein de son programme Limitless Scaling),​
J’avais besoin de recalibrer le tout.​

Le mois suivant, je faisais le meilleur CA de ma vie.​


Élever ses standards.​
Je le répète régulièrement à mes clients.​
On travaille dessus ensemble.​
C’est capital.​

Pour décider en fonction de celui / celle qu’on veut être.​
Et non en fonction de celui / celle qu’on a été​
(et qui fait ce qu’on est maintenant).​

Pas le plus facile, c’est vrai.​
Carrément désagréable par moments.​
Mais ta croissance passera par là.​

x3 sur son chiffre pour Christelle​

C’est le message qu’elle m’a envoyé lundi.​

Sans webinaire, sans automatisation, sans même utiliser les réseaux sociaux…​

C’est que je n’impose aucune stratégie.​
Ca n’aurait aucun sens​
(je l’ai subi moi-même à mes débuts).​

Ici on a établi ce qui était sensé, écologique et profitable.​
Pour elle.​


Comment elle a fait ?​
• Gros travail sur sa valeur​
• Focus sur ce qui compte​
• Prise de courage et actions dans ce sens​
• Et aussi un tour en montagne pour retrouver son « essence »​

That simple​
(mais simple ne veut pas dire facile 😉 )​


✨ ​ Apaiser le mental ≠ céder à ses PVM (Petites Voix de Merde) 😣​
✨ ​ Prendre conscience de ses propres ressources ≠ chercher l’objet brillant ailleurs 😣​
✨ ​ Poser des actions, avec courage ≠ se débrouiller pour tout faire, sauf ce qui compte 😣​
✨ ​ Apprécier le chemin ≠ vivre dans la frustration et l’illusion du “ca sera mieux quand…” 😣​


Tu veux connaître la même évolution ?​
Il reste actuellement 2 places pour Croissance & Flow.​

Si tu es prêt.e à aller chercher l’inconfort que nécessite le fait d’être vraiment à ta place…​
Pour ensuite trouver plus de fluidité et d’harmonie… ​

C’est maintenant.​
Allier coaching et stratégie avec un suivi au plus près = 🌱🏄✨​
Contacte moi – à quoi bon attendre ?​


“Le meilleur moment pour planter un arbre c’était il y a 20 ans. Le deuxième meilleur moment c’est maintenant.” ​

Alex le mytho ? Pas si vite…​


​Il y a quelques jours j’ai partagé ma mission.​
Je me sens cohérent et bien avec.​
Elle me stimule.​

Mais il y a quelques années, j’en étais loin.​
Quand je me suis lancé, c’était avant tout pour moi.​
Pas pour les autres.​
Ni pour une cause plus grande comme sauver les ours blancs.​

Juste pour moi.​
Pour aller vers ce que je sentais juste et important.​
Ne pas vivre d’un 9h-5h en bureau.​
Vivre selon mes propres termes.​


Ce point, j’avais mis longtemps à l’accepter.​
A mes débuts, ça m’avait bloqué.​
Faire ça juste pour moi quand les autres “changent des vies”, c’est pas trop égoïste ? ​

Je me trouvais naze par rapport à ceux qui clamaient haut et fort leur mission.​
Et je sais que je n’étais pas le seul à le ressentir.​
Pas mal de personnes autour de moi me l’avaient également avoué, à demi génées.​

C’est qu’à force d’entendre des gars comme Tony Robbins (que j’apprécie par ailleurs) raconter son histoire d’enfant malheureux qui devient le gourou qui change des milliers de vie…​
Ça peut faire culpabiliser.​


Est-ce que moi aussi je peux réussir, même si ma mère ne m’enfermait pas 3 jours dans le placard pour me punir ?​
Est-ce que c’est OK de partager son message, même si mon père n’était pas alcoolique ?​
Est-ce que je peux quand même vouloir contribuer, même en ayant eu une enfance douce et agréable ?​

La réponse est oui :)​


J’avais entendu DeMartini dire que les valeurs et les missions qui nous animent sont souvent fonction de nos blessures.​
Toujours une question de polarité et d’équilibre.​

Me concernant…​
Je ne construirai pas “d’empires”, je le sais et je le sens.​
Ça me va très bien.​
Ça ne m’empêche pas pour autant de faire de mon mieux pour apporter une vraie différence.​
Ni d’avoir de beaux et ambitieux projets pour la suite.​


Où je veux en venir avec ça ?​
Avant de plancher sur ce besoin d’accomplissement qu’on a tous…​
A chacun de s’assurer de bien remplir ceux qui viennent avant (sécurité, appartenance…estime).​


Comment pouvoir donner à l’autre ce qu’on a pas soi ?​
Ça sera déjà magnifique.​
Car beaucoup plus en cohérence avec soi, congruent et efficace.​


Alors, ne laissez personne vous faire croire que ce qui est important pour vous, maintenant, n’est pas suffisant, intéressant ou que sais-je.​
Chacun son évolution personnelle.​
“Chacun sa légende personnelle” (dixit L’Alchimiste).​


A votre croissance ​

« Put yourself in a loving mindset first, and then deal with other people »​

Ce qu’elle m’a partagé m’a choqué​



Appel de fin d’accompagnement.​
Je lui pose quelques questions sur ce qu’elle a vécu.​
Et elle me sort ça :​

« Enfin un accompagnement où on se sent accompagnée »​

Sur le moment ça me fait rire.​
Mais, après réflexion, un peu moins.​
What. The.​

Cette phrase improbable, quand on y pense.​
Et puis je me souviens qu’elle avait longuement hésité à dire “oui”.​
Trop échaudée par son expérience précédente dans une bonne formation à l’ancienne qui l’a laissée K.O.​


Bon.​
Je ne vais pas me faire plus blanc et beau que les autres.​
Mais si cette année j’ai décidé de me former au coaching (point sur lequel je reviendrai) et de créer une belle petite équipe (merci les filles !)…​
C’est pour continuer d’améliorer ce que j’offre à ceux qui me font confiance.​

Car je sais ce que ça représente que de s’engager dans un accompagnement.​
Je sais la puissance d’un accompagnement juste et calibré aux envies et besoins.​
Et je sais, pour régulièrement échanger avec celles et ceux qui se sont retrouvés dans le néant une fois closés, que les sentiments de trahison et de défiance sont forts​
(tu m’étonnes).​


Ceci étant dit, je ne sais pas vous mais…​
J’ai aussi l’impression que le plus gros de la vague violente de loulous qui font des ravages est derrière nous.​
Bien sûr ça n’empêchera pas certains de continuer à y aller​
(avec tout ce que ça leur apportera de positif aussi).​
Mais comme si ça se régulait doucement et sûrement.​


Avant de lire avec plaisir et curiosité vos retours, et parce que les messages bien polarisés en mode “nous contre eux” sont pas non plus ma came, je sais voir des avantages et opportunités à ça :​

  • L’opportunité de montrer qu’une autre voie est possible quand il s’agit de se faire accompagner sur la croissance de son activité​
  • L’occasion de faire preuve de congruence ​
  • La responsabilité, pour nous accompagnants, d’élever le niveau​

    Chiche ? ;)​

Du RSA à + 5 000 € / mois – Le retour d’Alexandre

Voilà un bon titre putaclick comme on les aime. 
En même temps, pourquoi s’en priver quand c’est ce qu’il s’est passé ? 

Au-delà du CA réalisé et qui, en soi, ne veut pas dire grand chose, c’est surtout la place prise qui est belle dans l’histoire. 


Quand Alexandre prend la décision de croire, d’investir en lui et de me faire confiance, il en termine avec sa carrière de kiné, touche le RSA et vend à l’occasion 2-3 formations numériques. 

Le gars a un potentiel énorme, du genre feu sacré sur le point de s’embraser. 
Et ce petit feu, mis sous cloche trop longtemps, prendra de l’intensité au fil des semaines. 

Les croyances se transforment. 
Les barrières tombent. 

Son objectif à un an ? 
Atteint en 3 mois. 

Son envie d’impacter ? 
Décuplée grâce à un message revu, aligné, revendiqué, puissant. 

Son idée un peu folle d’être un acteur qui compte dans sa thématique ? 
En septembre dernier, il a été invité pour animer un atelier d’un des plus gros Awakening Festivals d’Europe (au Monténégro).  

Aux dernières nouvelles, il se trouve au Costa Rica en mode Pura Vida, avant de repartir sur de nouveaux projets. 

Je le disais récemment : 
Le temps n’est pas linéaire. 
Ces sauts de géant, à hauteur de ce que chacun s’autorise, ne sortent pas du chapeau. 

Il y a la partie Yang, pragmatique, extérieure… 
Une offre revue et corrigée,  
Un message peaufiné, 
Un positionnement affiné 
(et beaucoup d’essais-erreurs) 

…Et la partie Yin,inspirée, intérieure… 
Des standards revus à la hausse, 
Des limites et besoins remis à jour, 
Des croyances transformées 
(et beaucoup d’humilité sur le chemin) 


Coaching sur l’humain et stratégie sur l’activité : 
Les 2 faces d’une même pièce – la tienne. 
Et c’est ce qui est travaillé dans mes accompagnements. 

Pas de brillant. 
Pas d’éphémère. 
Pas d’attrape-nigaud. 


Si tu te reconnais dans ce retour, 
Si tu es déjà sur le chemin mais sais et sens que les fondations sont faites de sable, 
Si tu cherches, une bonne fois pour toutes, à élever tes standards… 

Viens surfer sur la vague de ton activité. 
Car tu ne peux pas arrêter les vagues, mais tu peux apprendre à surfer :) 

Si tu as déjà une activité en place et que tu souhaites que je t’accompagne, dis-moi en MP ce que tu recherches et on verra si je suis le mieux placé pour te l’offrir. 

De l’importance de croire en les deux (mais les 2 quoi ?!)

Lors de mon dernier post je parlais de ce client qui a fait de 2021 une année qui comptera.

Aujourd’hui je veux aborder un point important :

Croire en son client.

Cette évolution qu’il a eue (et qui continuera) ?

Lui, la sentait.

Autrement, il ne m’aurait pas contacté pour travailler ensemble.

Moi, je le savais.

Autrement, je ne lui aurais pas proposé de travailler ensemble.

Quand j’offre mon service à une personne, c’est que je crois en elle.

C’est pour ça que je ne fais pas dans la masse.

En mode “allez viens ici tu vas faire ça comme ça et ça va être super, même si ça ne te va pas” comme on peut voir ailleurs quand il s’agit de développement d’activité.

Quand je ne sens pas que je peux vraiment apporter à la personne, je ne force pas.

Tu sais, c’est commun de lire un peu partout qu’il est important de définir et choisir ce fameux “client idéal”.

C’est vrai, je le pense aussi.

Mais il est aussi important de ne pas oublier que ce que tu offres avec tes accompagnements, c’est une co-création.

Une danse à deux.

Et que cette personne, que tu as choisie en fonction de tes aspirations, envies, compétences et expertise…

Te choisit elle aussi.

Pour ce que tu es, transmets et dégages.

Si tu ne crois pas suffisamment en ton client, comment peux-tu l’aider dans son évolution ?

Et si tu ne crois pas suffisamment en toi, comment peux-tu croire en ton client ?

En écrivant ça, ça me fait penser au Triangle de la vie de Louise Bourbeau :

Je m’aime, comme j’aime les autres, comme les autres m’aiment.

C’est pour ça que ce que je propose à travers Croissance & Flow est hybride.

A mi-chemin entre coaching sur la personne et stratégie sur l’activité.

Car l’un ne va pas sans l’autre.

Tu veux une offre qui attire ?

Commence par l’aimer, au point où tu as envie de la crier sur tous les toits.

Pour ça : un pas de recul pour revoir tes standards à la hausse et croire en toi.

C’est là où ça deviendra magique.

Pour vous deux.

Elle m’a envoyé une photo de moules

Je sors d’un appel avec vue sur l’océan.  
Pas pour moi.  
Mais pour cette personne qui vient de terminer l’accompagnement Croissance & Flow.  

Juste avant cet appel, elle m’a envoyé une photo de son plat de moules pêchées par ses soins 
(J’adore ce genre de partage !) 

Connectée en 4G à Zoom depuis son téléphone, 
Tout sourire à l’arrière de son camion, 
Avec une vue imprenable sur l’océan Atlantique.  


Elle vit l’un de ses rêves.  
Celui, tout bête et « normal » pour beaucoup d’entre nous, de gérer son activité à distance.  


Beaucoup de pas réalisés, petits et grands.  
De croyances transformées.  
De nouvelles visions des choses et du sens à leur donner.  
De larmes et d’inconfort, aussi.  
Un temps passé en montagne auprès des brebis et d’une bergère.  
Une vraie reconnexion à elle-même (et c’est tant mieux, c’est son crédo).  


Tout ça en un laps de temps, court et long à la fois.  
Le temps n’est pas linéaire.  
Énormément de changements peuvent survenir très rapidement.  
De nouvelles façons d’être, faire et avoir, assimilées et intégrées.  


Elle est sur son chemin.  
Elle sait qu’elle peut donner et recevoir plus et mieux.  
Et elle va y aller.  
Prête à affronter les prochains moments de challenges et de grâces.  

Un autre moment magique du quotidien, avec des conséquences à venir qu’on ne peut même pas soupçonner :) 

Ces moments, toi aussi tu peux les vivre. 
A condition de t’y autoriser. 
Et ca peut passer par un premier appel réservé 
(en fait c’est souvent comme ça que ca commence). 

Alexandre 

Cinq choses que j’ai apprises en 2021​

Cinq choses que j’ai apprises en 2021​

(entre autres et sans ordre particulier) :​


-1 ​Aller au-delà de mes peurs, et avancer d’au moins un petit pas pour les faire tomber. ​

-2 Coaching et écoute active sont primordiaux pour assurer la transformation des clients qui me font confiance. ​

-3 Plus m’amuser, car c’est la clé d’une vie entière. ​

-4 Ne pas réagir à chaud et réfléchir aux conséquences de mes actes. ​

-5 Je suis le maitre à bord de ma vie et mon pouvoir de création est réel et puissant. ​


Idées sur comment je peux m’en servir pour 2022 :​

-1 Me challenger à passer à l’action et essayer des choses qui me font envie mais que je me suis jusque là refusées. ​
Faire plus souvent cet effort de faire tomber ces peurs et aller équilibrer mes perceptions. ​

-2 Renforcer mes compétences et mon expertise consulting et coaching. ​
Pour me rapprocher de l’excellence, millimètre par millimètre​

-3 Faire plus de place à l’amusement. ​ ​ ​
Plus écouter mes besoins et envies. ​

-4 Continuer à mieux me connaître. ​
Continuer à me faire accompagner pour voir ce que je ne vois pas et aller où je refuserais tout seul. ​

-5 Visualiser, prendre encore plus ce temps de recul nécessaire. ​
Etre toujours créateur et acteur. ​


Et vous, qu’avez-vous appris et comment ça va vous servir ?​

Tu trouveras pas mieux ailleurs !”

Quelle est la bonne affaire que vous offrez ?

Tout ce qu’on achète est une bonne affaire.

C’est d’ailleurs pour ça qu’on l’achète

(bah oui, on a pas envie de se faire pigeonner).

C’est une bonne affaire car, à nos yeux, ça vaut plus que ce qu’on a payé.

Sinon on ne l’achèterait pas. 

Quand j’achète (j’investis) une nouvelle paire de tennis…

C’est parce que je me visualise être plus confortable avec durant mes footings.

La promesse de bonnes sessions de sport.

Ça crée chez moi un sentiment d’excitation !

Quand j’achète (j’investis) un livre…

C’est parce qu’il me fait de l’œil depuis un moment (je suis un peu bibliopathe j’avoue 😅).

Je sais que je vais en apprendre quelque chose et/ou m’évader.

La promesse d’un bon moment.

Ça crée chez moi un sentiment de plaisir !

Quand j’achète (j’investis) un accompagnement…

C’est parce que je sais que ça va participer à ma croissance.

La promesse d’un x10 sur les ressources investies (temps, argent, énergie).

Ça crée chez moi un sentiment de puissance, de certitude !

Et vous, avec votre accompagnement…

Quelle est la bonne affaire que vous offrez ?