Echange avec Chris Piton, le chapelier des contenus

Dans ce nouvel échange, j’ai le plaisir de rencontrer Christopher Piton, aka « le chapelier des contenus » !

 

Christopher est un spécialiste de la création de contenu sur la plate-forme LinkedIn.

 

Il s’est créé un univers bien à lui et réussit à engendrer un très fort engament à chacun de ses posts.

 

Dans cet échange, Christopher nous raconte entre autres…

– Sa vision du contenu

– Les bonnes méthodes pour être visible sur LinkedIn

– Ses inspirations

– Pourquoi il a choisi cette plate-forme

 

Vous pouvez retrouver Christopher ici :

◊ LinkedIn (bien sûr !) :

https://www.linkedin.com/in/christoph…

◊ Sa page web (vitrine) :

https://www.christopherpiton.com/

 

Ainsi que ses sources US d’inspiration :

Neville Medhora :

https://kopywritingkourse.com/

Ramit Sethi :

https://growthlab.com/

 

Bon visionnage !

 

 

Echange avec Rudy Viard

Nouvel échange !

 

Et cette fois-ci, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec Rudy Viard, consultant web marketing et fondateur du blog webmarketing-conseil.fr.

 

Le blog de Rudy est un mastodonte du paysage web marketing français.

275 000 visites par mois, des articles de fond très pointus, un modèle du genre.

 

Dans cet échange, Rudy nous raconte…

– Comment l’idée de ce blog a démarré

– Les différentes étapes auxquelles sera confronté chaque web entrepreneur

– Sa vision sur les enjeux et stratégies pour 2019

– Comment survivre en ligne dans un espace toujours plus saturé

 

 

Vous pouvez retrouver Rudy ici :

son blog

son Twitter

 

Ainsi que les deux articles invités que j’ai rédigés sur son blog :

◊ Comment Attirer des Clients Premium en tant que Consultant, Coach ou Formateur ? :

https://www.webmarketing-conseil.fr/attirer-clients-consultants-coachs/

 

◊ Comment Créer une Page d’Opt-In ? :

Comment Créer une Page d’Opt-In ?

 

Et si cet échange vous a plus, partagez, ca fait toujours plaisir !

Ca grinde dur…

Peut-être que vous avez vous aussi succombé l’espace de quelques mois à cette mode du poker, il y a quelques années.

 

C’est que cette industrie est absolument énorme et génère un CA à faire palir le monde entier.

 

Vous ne le savez peut-être pas, mais avant de me lancer à mon compte en tant que consultant et coach, j’ai passé 18 mois sur l’île de Malte.

 

Pourquoi j’ai atterri là-bas ?

 

Rapide flash-back (promis ça ne sera pas long).

 

De 26 à 29 ans, je suis un saisonnier.

L’hiver je suis à Val d’Isère, au service commercial et marketing de la société qui gère le domaine skiable.

Je m’occupe de la vente en ligne B2B et des réseaux sociaux.

L’été, je rentre chez moi à Hossegor dans le sud-ouest, nageur-sauveteur les pieds dans le sable sur la plage.

 

Je fais ça 3 ans puis décide de passer à autre chose et trouver un boulot stable chez moi.

Je me mets donc au chômage, ce qui s’avérera être une vraie traversée du désert.

 

7 mois à chercher du boulot sans résultat. Au mieux, on me propose un salaire au SMIC, au pire on ne me répond pas.

 

Le hasard (ou le destin) fait qu’au même moment, j’ai l’opportunité de devenir propriétaire là où j’ai grandi.

 

Là bas, c’est très touristique, les prix de l’immobilier ne s’arrêtent pas de flamber et il est très compliqué d’acheter un bien.

 

Alors je ne peux pas laisser passer cette occasion inespérée de devenir primo-accédant à un prix bien plus bas que le marché !

 

Problème… je suis toujours au chômage lorsque je fais 30 ans (pas le plus folichon de mes anniversaires je vous avoue).

 

Ce qui, vous l’imaginez, n’est pas idéal pour aller démarcher les banques et demander un prêt.

 

Le temps presse.

 

Là, un ami me dit que sa société qui est aussi basée à Malte recrute.

Malte, je sais à peine où c’est mais je m’en fous.

Malte, Saint Pétersbourg ou Glasgow, je veux juste un salaire.

 

Je postule donc et, en moins de quinze jours, décroche cet emploi salvateur, synonyme de fiche de paie, véritable sésame pour les banques.

 

Une semaine plus tard, je m’envole donc pour la petite et très jolie île de Malte, soulagé à l’idée que l’un de mes rêves va pouvoir se concrétiser.

 

Je rejoins alors le service clientèle d’un des leaders du marché du jeu en ligne (poker, paris sportifs, casino) et travaille de nuit (21h – 8h).

 

Bon, pas le job idéal me direz-vous.

 

Là bas, je découvre vraiment l’univers du poker et rencontre des passionnés qui “grident” dur.

 

Mais ca veut dire quoi au juste “grinder” (prononcer graillneder) ?

 

Le premier sens signifie moudre, broyer, réduire en poudre.

 

Le sens plus informel se traduit par un boulot répétitif, monotone.

 

Et c’est ce que font ces joueurs passionnés de poker, qui, pour la plupart, gagnent de coquettes sommes ou pour certains ont été joueurs professionnels.

 

Ils grindent.

 

Ils usent les tapis des tables virtuelles de poker.

 

Ils font des mains.

Des centaines de mains.

Des milliers de mains.

Tous les jours.

 

Moi petit débutant qui me contente de jouer 5 euros avec des copains autour d’une table et avec quelques bières, j’étais curieux d’en apprendre plus auprès de très bons joueurs.

 

Ils m’ont alors expliqué que la différence entre ceux qui réussissent et ceux qui échouent est de grinder.

 

Statistiquement, plus tu fais de mains, plus tu as de chances de gagner.

C’est mathématique.

 

La différence se fait donc sur le volume de jeu que certains sont prêts à abattre.

 

Concrètement, à quoi ça ressemble ?

 

Ils ont un grand écran d’ordinateur chez eux, sur lequel ils lancent jusqu’à 24 tables en même temps.

Ca veut dire qu’ils jouent 24 parties en simultané.

Le mode robot est activé et ils s’enferment dans leur bulle.

La moindre distraction peut coûter cher car ils sortent alors de leur concentration et peuvent perdre le fil de leurs parties et leur rythme.

 

Ils n’en ressortent pas toujours vainqueurs (et enrichis) mais c’est le volume qui compte.

 

Pourquoi je vous raconte tout ca ?

 

Parce que le parallèle entre ces grindeurs et le démarrage de votre activité est évident.

 

Si vous voulez faire décoller votre activité, au début, il n’y a pas de secret : il faut grinder.

 

Qu’est-ce que ca veut dire, appliqué au champ du business ?

 

Concrètement, vous n’aurez un business que lorsque votre offre se trouvera en face de prospects, qui pour certains deviendront clients.

 

Lorsque vous démarrez, vous devez confirmer votre offre et votre avatar.

Votre avatar, votre client idéal, vous devez le trouver et savoir où il se trouve.

Afin d’échanger avec lui, connaitre ses besoins et ses envies.

 

Si vous n’avez pas un gros budget à allouer au trafic payant (Facebook ads notamment), le meilleur (et seul) moyen est de faire ça de façon organique (ou gratuit).

 

Ca veut dire qu’au lieu d’investir l’argent que vous n’avez peut-être pas, vous investissez votre temps et allez à l’encontre de cet avatar :

 

Dans votre réseau proche

Sur les groupes et votre profil Facebook (et les autres réseaux sociaux)

Avec des articles-invités sur des blogs connus de votre thématique

En promouvant vos propres articles de blog

Lors d’événements physiques…

 

Je ne vais pas vous expliquer les stratégies organiques ici, ce n’est pas le but.

 

Quoi qu’on en dise, ces stratégies sont payantes.

Elles vous permettront de faire grossir votre liste d’abonnés.

Elles vous offriront vos premiers clients.

Garanti.

 

Mais elles prennent du temps.

Elles demandent de la persévérance.

Elles vous obligent à grinder.

 

Et même le jour où vous serez en mesure de balancer du trafic payant, la même logique s’appliquera.

Vous devrez continuer à grinder.

 

Ne croyez pas que c’est parce que vous avez obtenu vos 10 premiers clients que votre business va rouler tout seul.

Vous vous mettez le doigt dans l’oeil et tomberez de bien haut.

 

Que vous décidiez de faire simplement un email quotidien à votre liste, ou des vidéos, ou je ne sais quoi d’autre, le grind est essentiel.

 

Il y a deux raisons essentielles à cela :

 

Consistency is credibility

 

La constance vous rend crédible.

Si vous voulez rester dans la tête de vos prospects et de votre audience, vous devrez marteler votre message de façon régulière.

Aussitôt que vous arrêterez, vous disparaître.

La place ne restera pas vacante très longtemps et quelqu’un d’autre réussira à accrocher leur attention.

 

La persévérance paie

 

Si on me demande de parier entre une personne géniale mais fainéante et une autre moins géniale mais pugnace, je choisirais la deuxième sans hésiter.

Etre persévérant vous rend sur le long terme meilleur, plus fort, plus résistant et plus expérimenté.

 

Il ne s’agit pas de poster des citations inspirantes sur son profil Facebook pour se croire persévérant.

 

Il faut le montrer au quotidien.

 

Personne ne lit vos posts ?

 

Améliorez-les mais continuez à rédiger tous les jours.

 

Vos 50 prises de contact n’ont rien donné ?

 

Faites en au moins 50 de plus et ca finira par payer – simple vérité mathématique.

 

Si vous voulez vraiment réussir votre entreprise (au sens large du terme), continuez à grinder. C’est la seule vraie alternative.

 

Vous pouvez également regarder cette rapide vidéo tournée à la va-vite sur le sujet :

 

 

 

.

[Vous n’avez pas à être génial pour démarrer…]

Mais c’est ridicule ce que je viens d’écrire…

Non, je ne peux pas contacter cette personne…

 

Pourquoi enclencher ne serait-ce qu’un tout petit pas nous parait être une montagne dont on ne voit pas le sommet ?

 

Pourquoi notre cerveau se met à hurler comme des sirènes d’incendie ?

 

Plusieurs raisons sans doute (j’attends votre avis avec impatience !) mais voici celle qui me paraît la plus importante :

 

La peur de l’inconnu.

 

La peur de ce qu’il se passera après.

 

La peur de ce que cette toute petite action (qui nous mettrait sur le chemin de ce qu’on souhaite réaliser) peut provoquer.

 

Ce que ca peut provoquer, justement, discutons-en.

 

Toute action entraîne une réaction. C’est une des lois de Newton (et accessoirement, de l’univers).

 

Je vois 3 réactions possibles :

 

1. Aucun retour de personne, aucune réaction (fort probable, surtout lorsque vous vous lancez)

 

Où est alors la réaction ?

Dans votre tête.

Car, lorsque vous vous lancez, vous n’avez sans doute pas d’audience.

Ces premières prises de paroles, elles sont surtout pour vous.

Pour vous délier le poignet et la langue, et pour gagner en expérience et confiance.

Excellent !

Entraînez-vous ainsi, et lorsque l’audience sera plus grosse, vous serez plus à l’aise.

 

 

2. Vous vous faites critiquer

 

Pas évident à gérer (surtout au début), je vous l’accorde.

Recevoir des critiques – surtout de proches – sera le prix à payer pour devenir celui que vous voulez être.

Mais gardez cette petite parade en tête :

Demandez-vous où en sont ces haters et ces mégères.

Est-ce qu’ils ont réalisé plus de choses que vous ?

Ou est-ce qu’ils stagnent à leur place ?

 

Ceux qui vous critiquent seront toujours en dessous de vous.

Ceux qui vous encouragent, toujours au dessus.

 

S’ils vous critiquent, tant mieux ! C’est signe que vous vous élevez.

 

Et s’ils vous critiquent, c’est aussi parce qu’ils veulent vous ramener à leur niveau.

Vous voir ne serait-ce que tenter quelque chose les renvoie à leur incapacité à passer à l’action.

Ca leur fait mal et c’est pour ca qu’ils veulent vous voir rester à votre place.

 

 

3. Vous inspirez d’autres personnes

 

C’est ce point que vous recherchez.

 

Votre message trouve écho chez d’autres personnes.

Elles aiment ce que vous dites, partagent, commentent, commencent à vous suivre.

Votre mouvement, jusqu’alors inerte, commence doucement à bouger.

Votre vision et votre message aident d’autres personnes.

 

C’est ce que vous vouliez, non ?

Alors continuez !

Profitez-en pour échanger avec elles, comprendre leurs besoins et envies.

Réalisez-vous.

 

Et n’oubliez pas :

 

Vous n’avez pas à être génial pour démarrer.

Mais vous devez démarrer pour être génial.

 

 

 

Coaching / Accompagnement / Consulting : Quid de la garantie ?

Je sors d’un appel de groupe mené par mon coach et la question de la garantie a été posée :

=> Doit-on offrir une garantie à son client ?
=> Que répondre à un prospect qui demande une garantie ?

C’est une question intéressante, qui mérite réflexion et que beaucoup de coaches ou consultants doivent se poser.

 

Et attention, je parle bien ici de garantie dans le cadre d’une offre de service (coaching accompagnement, consultation).

Dans le cadre d’une offre de produit (qui plus est numérique), c’est une toute autre histoire.

La garantie est utilisée pour renverser le risque.

Cela aide votre prospect à passer a l’action (avec des offres classiques « satisfait ou remboursé 30 jours »). Ici, la garantie aide à vendre plus.

La raison pour laquelle vous voyez des garanties hallucinantes sur les formations en ligne, c’est simplement que ce sont des produits numériques, qui, une fois créés, sont disponibles indéfiniment. Il n’y a pas de contraintes de temps et d’énergie passés à créer ce produit (contrairement à un évènement, séminaire, suivi sur plusieurs semaines, etc).

Lorsqu’on accepte une grosse moyenne de 10% de remboursement, on peut anticiper les marges. Ce qui aide ensuite à connaitre nos chiffres, pour ensuite aller plus loin dans la garantie.

 

Cet aparté terminée, je souhaite d’abord partager deux exemples reçus dernièrement et qui font écho avec ce sujet :

Je fais partie de l’équipe d’un web entrepreneur anglo-saxon (il est l’un des speakers de Success Ressources et a parlé sur la même scène que Gary Vee en fin de mois dernier).

Je gère les questions de ses clients et anime les webinaires Q&A pour ses clients VIP et Mastermind.

Deux d’entre eux ont contacté le Support ces 15 derniers jours pour se plaindre. 
Se plaindre du programme. 
Des webinaires donnés qui sont trop courts. 
Que les slides passent trop vite.
Et j’en passe.

Je suis sûr que vous avez déjà eu affaire à ce genre de requêtes avec certains de vos clients ?

 

L’attribution externe de l’échec

 

Le pire dans tout cela, c’est qu’on a pu sans mal démonté toutes leurs « attaques » en leur montrant qu’elles bénéficiaient de tout le support dont elles avaient besoin :

« Je n’ai pas eu mes liens pour le webinaire et je vais le rater alors que ce n’est pas ma faute ». 
2 rappels sont envoyés avant chaque webinaire. Tous les liens sont sur son compte en ligne. On lui a déjà renvoyé par email via le support tous les liens dont elle a besoin.

Pourtant, elle risque de le rater alors que ce n’est pas « SA faute ».

Attention, je ne tiens pas à les accabler, bien au contraire.
Tout ce que ça résume, c’est énormément de frustration.
Frustration de ne pas arriver à mener à bien son projet. 
Peut-être même à savoir où est-ce qu’elle veut aller.

Et rejeter le blâme sur l’autre est humain.

C’est ce que mon prof de psychologie du sport (lorsque j’étais en STAPS) nommait « L’ATTRIBUTION EXTERNE DE L’ÉCHEC ».

C’est plus facile.
Au moins, si on ne réussit pas, ce n’est pas de notre faute.

 

L’anecdote qui va bien

 

Tiens, le fait d’écrire me renvoie à cette anecdote :

Il y a 6 ans (déjà !) je m’étais préparé pour mon premier marathon, à Annecy. 
10 semaines de programme à aller courir sur les routes aux bord enneigés.
Mon objectif était de faire 3h30 (je savais que je les avais dans les jambes).

La course se passe bien, je suis tranquillement les meneurs d’allures (ils sont bien pratiques eux !).

 

Sauf qu’au 28e kilomètre, mon ventre commence à jouer des siennes.

Je vous passe les détails (!) mais j’ai dû m’arrêter 3 fois sur le bas-côté en urgence sur les kilomètres suivants.

Je finis et passe la ligne en 3h35.
Ces troubles digestifs qui m’ont couté ces 5 minutes.

J’étais forcément déçu.

J’avais raté mon objectif à cause de mon estomac qui a fait des siennes !

 

Sauf qu’en y repensant rapidement après… le seul responsable, C’ETAIT MOI.

J’aurais pu et dû le blinder avec 2 Smecta avant la course et le problème était réglé.

Tant pis. 
Dommage pour l’objectif mais la leçon était apprise !

Ma garantie à l’époque durant les entrainements, c’était de bouffer du fractionné pour augmenter mes limites.

Et m’assurer que j’avais bien pensé en amont aux différents cas de figure durant la course.

Et donc…

Pour revenir à la garantie avec un client sur du coaching ou de l’accompagnement (ou qu’importe le nom que vous lui donnez) ?

 

Donner ou pas une garantie

 

N’en donnez pas. 
Ne GARANTISSEZ JAMAIS UN RÉSULTAT.

Pourquoi ? 

Je vois 2 raisons principales :

  1. Tout d’abord vous vous embarquez dans quelque chose que vous ne maitriserez pas et vous exposez ainsi à une insatisfaction du client, une demande de remboursement et un discrédit.
  2.  
  3. Cela diminuera l’implication de votre client. Vu que le résultat est ga-ran-ti, « je vais obtenir ce que je souhaite sans trop forcer ».

Sauf que j’imagine que vous le savez si vous êtes coach ou consultant, obtenir ce qu’on souhaite « sans trop forcer », ça marche rarement.

La seule garantie que vous pouvez lui assurer c’est que s’il continue à faire ce qu’il a toujours fait, il aura toujours les mêmes résultats (poke A. Enstein).

 

Ce que vous pouvez faire à la place ?

 

Lui faire comprendre que vous n’êtes PAS UN SAUVEUR.

Mais que vous pouvez être le garant de SON PROPRE ENGAGEMENT.

En la motivant, en lui donnant des coups de pieds au cul, en lui soufflant dans les bronches, si nécessaire.
Et surtout en le ramenant à sa PROPRE RESPONSABILITÉ

Son propre engagement.
Sa propre envie.
Ses propres objectifs.

 

Ce que ça vous permettra ?

 

  • Vous assurer d’avoir des clients complètement engagés et qui sont prêts à investir sur eux même (poke W. Buffet).

 

  • Vous libérer de la peur d’annoncer votre promesse, la transformation que vous proposez. Pour vous détacher du résultat et de plutôt vous focaliser sur le PROCESS.

 

J’ai investi plusieurs milliers d’euros dans un programme il y a peu. 
Ma femme en a payé la moitié car à l’époque je ne pouvais pas me permettre une telle sortie d’argent (ma femme est formidable).

Et croyez-moi, je me sens investi. 
J’y travaille, jour après jour et irai au bout du process.

Si ca marche, joie ! Sinon, il sera toujours temps de réfléchir à ce qui a coincé.

Si ca marche, je remercierai mon coach et son équipe. Sinon, je les remercierai quand même et leur demanderai où est-ce que j’ai pêché, pour améliorer cela et faire autrement.

 

Est-ce que cet article vous parle ?

Si oui, ce que je vous propose, c’est de mettre en commentaire ce que vous en pensez pour continuer la conversation et échanger de la valeur 🙂

 

 

 

La meilleure question que tu pourras te poser un lundi

 

J’espère que tu as passé un bon weekend. Et qu’au lieu de te réveiller avec une vieille gueule de bois, tu te l’es joué soft sur la bibine et dur sur ton projet perso.

D’ailleurs, avant d’attaquer ce qui sera mon plus long mailing envoyé, je souhaite t’avertir que pour les prochaines semaines, je ne te délivrerai plus du contenu 3 fois par semaine comme je le faisais jusqu’à présent, mais moins souvent.

Je sais que je reprendrai un rythme plus élevé prochainement, mais pas pour le moment (même si je continuerai à être disponible si tu as des questions).

Alors… revenons à ma question : as- tu planché sur ton projet ?

Car devenir “indépendant”, passer à son compte, ça a clairement des bons côtés, je ne te le cache pas.
Deux exemples personnels parmi d’autres :

Lorsque ma femme (copine à l’époque, on s’est mariés à la va-vite pour l’occasion – ce qui ne nous a pas empêché de faire une sacrée bringue !) m’a demandé si j’étais OK pour aller nous installer aux Émirats suite au job qu’on lui avait proposé, j’ai accepté sans trop me casser la tête.
Il me suffit juste d’une connexion wifi pour travailler. Je vous écris en ce moment depuis Abu Dhabi.

Et je surveille en ce moment les billets d’avion pour voir si je rejoins un copain en dernière minute au Sri Lanka pour quelques jours.

Voyages, indépendance géographique, plans de dernière minute. La belle vie.

Sauf que ce que beaucoup d’autres ne te racontent pas, c’est l’autre côté :

Au début, des dizaines et dizaines d’heures à travailler avec comme seules récompenses le doute et des poches vides.

Un projet à assumer et à insérer dans sa vie de tous les jours.

Un trou à se faire dans sa thématique choisie.

Des clients à trouver.

Des problèmes – même si maintenant j’évite le mot « problème » et je préfère « situation », question de mindset 😉 – à résoudre au quotidien. Quand ils ne sont pas techniques, ils sont stratégiques, ou motivationnels.

Lors de la phase de gestation, une présence de chaque instant requise, un peu comme si c’était ton bébé.
Non. Supprime-le « comme si ». Parce que c’est ton bébé.
Tu ne changes pas des couches mais ca braille tout autant !

Des vacances que tu oublies (tu remarqueras que j’ai utilisé le mot “voyages” plus haut, et non “vacances”).
Des vacances, c’est quand tu ne fais rien qui est lié à ta profession.

Ici, tu n’as pas vraiment de professions mais une activité. Tu ne fais pas du 9h-5h et débauche l’esprit tranquille. Certes, tu es libre de tes mouvements, mais tu ne décroches vraiment jamais.

Ceci dit, cela ne devrait pas te poser problème.
Car si tu as choisi ce chemin, c’est que tu souhaites vivre ce genre de moments.

Avoir peur mais continuer à avancer.

Douter mais refuser d’abandonner.

Te remettre en question souvent pour mieux tracer ton chemin.

Savourer les petites victoires.

Ne cesser de se répéter que toi aussi, tu peux le faire.

Se lâcher et se faire plaisir.

Grandir, pour devenir une nouvelle personne, faire de plus grandes choses et avoir ce que tu souhaites.

Tiens, peut-être que tu as reconnu cet exercice classique mais efficace de développement personnel :

To be. To do. To have.

Étudie ses différentes étapes :

Il faut être, devenir une certaine personne (avec de nouvelles compétences, une nouvelle façon d’aborder la vie) pour faire ce qu’il faut, franchir les différentes étapes, afin d’avoir ce qu’on souhaite, réaliser nos objectifs.

C’est ce chemin et ce raisonnement que tu dois emprunter.

Pas l’inverse.

Ceux qui abandonnent trop vite, ou pire, n’essaient même pas et se cachent derrière l’excuse de ne pas avoir ce qu’il faut.
“Si j’avais X euros, je pourrais avoir ceci et être comme ca”.
Ca ne peut pas (et ne fonctionne jamais) marcher comme ca.

Alors, pour commencer cette semaine de la bonne façon, au lieu de te bercer d’illusions ou de travailler sur ce qui ne compte pas vraiment, demande-toi où est-ce que tu veux arriver.

Ce qu’il faut faire pour atteindre cette destination.

Et quoi changer en toi pour mettre l’univers en mouvement.

Car une fois un projet lancé comme une petite boule de neige… pourquoi ne pas l’imaginer finir en avalanche inarrêtable ?!

La balle est dans ton camp !

Alex

 

 

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3 questions pour une home page

 

Si tu gères un blog et ton petit business, tu le sais, les produits et services que tu offres évoluent constamment et rien n’est jamais figé.

Ta vision change, tes stratégies évoluent, ton champ d’expertise s’agrandit.

 

En ce moment, je réfléchis sur la home page de mon blog. Je la retravaille afin de la faire mieux correspondre à ce que j’offre en termes de services et de contenus.

Tandis que les mots et la forme restent à définir, je sais qu’il y aura trois questions auxquelles je devrai répondre très rapidement (et je te conseille d’en faire de même).

Ces trois questions sont celles que toi, moi et n’importe quel visiteur qui débarque sur un nouveau site se posent.

 

  • De quoi parle ce site ?

D’entrée de jeu, il faudra afficher ta proposition de valeur le plus clairement possible.

De quoi tu parles ? Quel est ton domaine ?

 

  • Est-ce que ce site m’est utile ?

Le visiteur va-t-il trouver un intérêt à ton site ?

A priori oui, si tu restes cohérent avec ta communication et ta promotion sur les réseaux sociaux et traite de ton domaine d’expertise, le visiteur aura un minimum d’intérêt pour ce que tu as à offrir.

A toi de lui donner envie de rester ! D’où la 3e question…

 

  • Où est-ce que je clique ?

Qu’est-ce qu’il sera disponible sur ta home page ?

Un lien visible et clair vers ton contenu est important. Ça permettra au visiteur de devenir un lecteur

 

Trois questions faciles, pas vrai ?

Regarde la home page de ton blog et mets-toi à la place d’un visiteur : est-ce que la navigation est simple ? Est-ce que transmets clairement ma proposition unique ?

 

Mais surtout, et je te laisserai avec ça aujourd’hui, il y a une chose primordiale à avoir sur ta home page :

Un bouton CTA.

Un bouton Call To Action pour inciter les visiteurs à devenirs abonnés.

 

Pourquoi ? Parce qu’un blog n’est pas un business et un visiteur n’a aucune valeur si tu ne le convertis pas en abonné sur ta liste !

Ce que tu fais alors ?

Tu proposes du contenu, de qualité et gratuit, en échange de son adresse e-mail.

C’est du donnant-donnant à valeur égale, alors ne sous-estime pas la valeur d’un contact.

Je te laisse vérifier tout ça et te souhaite une bonne journée !

Si besoin, tu sais qui contacter 😉

 

Alex

 

 

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Une vache qui vole, incroyable !

 

 

Je ne sais pas si j’aurai réussi à accrocher ton attention avec ce titre. Il me tarde de savoir !

 

Parce que tu le sais déjà, le seul et unique but d’un titre (d’email, d’article, etc.) est… ?

 

De donner envie au lecteur de lire la suite !

 

Tout simplement. Ne cherche pas midi à 14h. Cherche à faire en sorte que tes lecteurs aient envie de continuer à lire ce que tu proposes.

 

C’est intégré ? Super, c’est une bonne chose.

 

Maintenant, attention.

 

Donner un titre qui donne envie, oui.

 

Raconter n’importe quoi, non.

 

Mon titre là-haut, il a peut-être attiré ton attention, ce qui fait que tu lis ces lignes en ce moment.

 

Mais après ? Quel est le rapport entre t’apprendre à vivre de ton activité en ligne et une vache qui vole ? Aucun.

 

Le résultat si tu fais ce genre d’attrape couillons ?

 

L’effet inverse que tu voulais.

 

Si ton lecteur n’avait pas cliqué, il en serait resté là. Sauf que maintenant qu’il lit quelque chose qui n’a rien à voir avec le titre qui l’a attiré, il va l’avoir mauvaise et mettre un bon coup de clic sur le bouton Désinscription pour que tu disparaisses à tout jamais de sa boite email.

 

Ton « capteur d’attention » doit être en accord avec ton message. Il doit créer suffisamment d’émotions pour donner envie d’aller plus loin tout en restant rationnel.

 

Ne trompe pas tes lecteurs et tes abonnés. C’est ton audience, ils te font confiance. Ne les méprise pas. Au contraire, respecte-les, montre-leur que tu es là pour eux et tu pourras continuer à vivre de ton business.

 

 

Alex

 

[thrive_leads id=’731′]

Imparfaitement riche ou parfaitement pauvre ?

 

On est déjà mi-février, tu te rends compte ?

 

J’ai fait le calcul, il y a déjà plus de 10% de l’année qui s’est écoulé.

 

Je ne sais pas pour toi, mais vu ainsi, ça m’a fait réfléchir !

 

Et toi, ça te fait quoi de savoir ça ? Pas grand-chose ? Angoisse qui monte ? Joie excessive et incontrôlée ?

 

Où en es-tu de tes projets ?  Si tu compares avec ce temps déjà écoulé, tu es dans les clous ? J’espère pour toi ! Perso, il y a encore du boulot mais c’est bien ainsi.

 

Si tu me dis que tu n’as pas de projets définis pour cette année… je vais te demander ce qui te motive à te lever le matin.

 

Pour certains, rien que le mot « objectif » déclenche une crise d’urticaire. Comme si c’était un gros mot, ou un terme employé par les gros businessmen en quête avide de toujours plus de pognon.

 

Je ne suis pas d’accord. Quand tu te fixes un objectif, c’est quelque chose que tu as envie de réaliser, dans un domaine que tu apprécies. Faut pas être maso non plus.

 

Je ne sais pas pour toi, mais je préfère bosser pour aller chercher ce que je veux que d’attendre que la vie passe.

 

La vie, c’est un voyage, et le plus important, ce n’est pas la destination, mais bien le voyage lui-même !

 

Alors retrousse-toi les manches et mets-toi en action avant qu’il ne soit trop tard.

 

Et surtout, n’attends pas d’être parfait pour démarrer. La perfection n’existe pas. Tu ne l’atteindras jamais, car tu pourras toujours faire mieux.

 

Tiens, je vais finir avec cette question. Qu’est-ce que tu préfères ? Etre imparfaitement riche à lancer son business ou parfaitement pauvre à ne rien faire ?

A bon entendeur !

 

Alex

 

[thrive_leads id=’731′]

Faire sa propre promo… Exercice délicat ?

J’imagine que tu as déjà eu à passer par là.

A avoir à te mettre en avant afin de promouvoir tes talents et compétences.

Comment tu t’en es sorti ?

Tu as géré sans problème et sans broncher ?

Ou tu as fini avec les mains moites et un petit sentiment de malaise ?

Je ne sais pas ce que tu en penses, mais j’ai l’impression que de façon générale, les gens ont un problème général par rapport à la promotion et la vente.Et quand je dis « les gens », je m’inclue dedans.

Enfin, je m’incluais. Ou je m’inclue de moins en moins.

Car si je veux continuer à vivre de mon activité de consultant marketing, il faut bien que je fasse ma propre promo.

Tout comme toi avec ton propre projet.

 

Tu connais la loi de Pareto ? Celle qui explique que 80% de nos résultats proviennent de 20% de nos actions.

Ça s’applique dans ce domaine aussi.

Tu as le meilleur contenu du monde ?

Si personne ne le sait, personne ne le commandera.

Et ne crois pas qu’on viendra naturellement te trouver.

 

Le marché (quel qu’il soit) abonde tellement en produits et services que si tu ne joues pas des coudes pour te montrer et faire ta propre promo, tu peux arrêter de produire du contenu et travailler seul dans ton coin.
On s’empressera à obtenir ce que tu as si seulement c’est de qualité. Mais seulement aussi si on le sait.

 

Alors prends la parole.

Affirme-toi.

Crois en ce que tu as à offrir et en toi.

Et montre toi !

En ligne – comptes, groupes, page et pubs Facebook, blogs, Instagram, Twitter, etc.

Et hors ligne (IRL) – salons, bouche-à-oreille, collègues, …

Les possibilités sont nombreuses.

A toi de les saisir.

 

Si tu ne sais pas quelle est la meilleure façon pour toi de te promouvoir, réserve ta session coaching avec moi, on mettra sur pied ton plan d’action pour montrer que tu es bien là (dernières sessions pour février) :

http://viedeweb.com/session-coaching/

 

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