Ce qu’elle m’a partagé m’a choqué​



Appel de fin d’accompagnement.​
Je lui pose quelques questions sur ce qu’elle a vécu.​
Et elle me sort ça :​

« Enfin un accompagnement où on se sent accompagnée »​

Sur le moment ça me fait rire.​
Mais, après réflexion, un peu moins.​
What. The.​

Cette phrase improbable, quand on y pense.​
Et puis je me souviens qu’elle avait longuement hésité à dire “oui”.​
Trop échaudée par son expérience précédente dans une bonne formation à l’ancienne qui l’a laissée K.O.​


Bon.​
Je ne vais pas me faire plus blanc et beau que les autres.​
Mais si cette année j’ai décidé de me former au coaching (point sur lequel je reviendrai) et de créer une belle petite équipe (merci les filles !)…​
C’est pour continuer d’améliorer ce que j’offre à ceux qui me font confiance.​

Car je sais ce que ça représente que de s’engager dans un accompagnement.​
Je sais la puissance d’un accompagnement juste et calibré aux envies et besoins.​
Et je sais, pour régulièrement échanger avec celles et ceux qui se sont retrouvés dans le néant une fois closés, que les sentiments de trahison et de défiance sont forts​
(tu m’étonnes).​


Ceci étant dit, je ne sais pas vous mais…​
J’ai aussi l’impression que le plus gros de la vague violente de loulous qui font des ravages est derrière nous.​
Bien sûr ça n’empêchera pas certains de continuer à y aller​
(avec tout ce que ça leur apportera de positif aussi).​
Mais comme si ça se régulait doucement et sûrement.​


Avant de lire avec plaisir et curiosité vos retours, et parce que les messages bien polarisés en mode “nous contre eux” sont pas non plus ma came, je sais voir des avantages et opportunités à ça :​

  • L’opportunité de montrer qu’une autre voie est possible quand il s’agit de se faire accompagner sur la croissance de son activité​
  • L’occasion de faire preuve de congruence ​
  • La responsabilité, pour nous accompagnants, d’élever le niveau​

    Chiche ? ;)​