La reconnaissance ne vient jamais de l’extérieur.
“Qu’est-ce que tu penses de moi ?”
C’est avec cette question que je réponds à la question de mon mentor en toute fin d’accompagnement il y a deux ans.
“As-tu une question pour moi ?
- Qu’est-ce que tu penses de moi ?”
C’est tout ce que je trouve à lui demander -_-
C’est qu’à l’époque, je me compare énormément – et j’en souffre dans mon activité.
Je sais que c’est pas terrible.
Mais je ne peux pas m’en empêcher.
Je bouffe beaucoup trop de contenu gratuit.
Je lis les “concurrents” en les détestant.
J’achète des petites formations juste pour voir ce qu’il y a dedans.
Je cherche quelqu’un pour me dire que ce que je fais, ce n’est pas trop mal.
Je me nourris de manque, de “pas assez” et de vide.
Mode tonneau des Danaïdes activé (et avec un gros débit).
Sauf que la reconnaissance ne vient jamais de l’extérieur.
Jamais.
Heureusement, plaqué sous toutes ces couches se trouvait cette foi.
Foi en moi, en mon chemin que je suis, en l’inconnu.
Foi également que, petit à petit, à mon rythme, j’enlève les peaux mortes et les boulets pour faire place à ce qui attend sagement.
Et surtout, surtout, je ne lâche pas.
Je ne jette pas l’éponge.
Je ne pense même pas à d’autres alternatives.
(foi + détermination = magie)
Alors je me mets à la diète de contenus (ce soulagement, t’as pas idée).
Je commence, tant bien que mal, à dompter ce petit mental agité.
Je me concentre sur ce que j’ai envie de faire et comment je peux aider les autres avec.
Ça se débloque alors, doucement.
Grâce à une stratégie que je garde simple.
Le meilleur service possible pour ces clients qui me font confiance.
Des croyances challengées puis transformées.
Des actions, mêmes minimes, chaque jour.
L’écriture quotidienne, pour clôturer ma journée, de 3 choses dont je suis fier.
Cette évolution perso.
Cette stratégie simple et adaptée.
Ces petites actions quotidiennes.
Une activité sereine et en croissance.
C’est maintenant ce que j’ai à cœur d’offrir.
Pour que chacun.e retrouve pouvoir,souveraineté et fluidité.