Ces quelques mots que tu prononces par “instinct de survie” mais qui te tuent à petit feu

Tu vois bien que tu n’arrives pas à décoller mais hésite encore à te faire accompagner ?

Ou bien tes petites voix de merde sont encore trop présentes dans ta tête ?

Ces quelques lignes vont t’intéresser.

Tu le sais peut-être, je propose mes services aux entrepreneurs qui vendent leur accompagnement et souhaitent un marketing plus simple et qui leur ressemble.

Et je continue à me former, tout le temps.

(Hé oui, n’en déplaise aux haters, se former / se faire accompagner pour à son tour mieux donner, c’est une boucle vertueuse – le “coach coaché qui coache”, en gros)

Alors quand j’entends ce genre de phrases, à la fin d’échanges qui m’ont été demandés…

“Je n’arrive pas à vendre mon accompagnement à l’heure actuelle, dès que ce sera le cas, je reviendrai vers toi…”

“Finalement, je préfère assurer et faire le point d’ici quelques mois…”

“Tout compte fait, je ne me vois pas investir maintenant…”

Je comprends – vraiment.

J’ai beaucoup d’empathie pour elles.

Ce sont des situations inconfortables où on se retrouve face à soi-même (et nos petites voix de merde).

(Je me souviens de la toute première fois que j’ai investi sur moi, j’en ai eu mal à ventre.

Ma femme avait assuré le 2e versement

Petite pique à l’égo au passage.

Mais, putain, si c’était à refaire, je le referais 1 000 fois.)

Je comprends, mais…

1. Ca me fait de la peine.

Pas pour moi.
Ni mon CA.

Mais pour elles.

Car je SAIS que c’est la peur qui parle.

Et je suis prêt à parier que “d’ici quelques mois”, rien n’aura changé (même si c’est ce que je leur souhaite).

2. Je m’en veux.

Car je n’ai pas réussi, lors de notre échange, à les faire changer de paradigme.

J’ai failli à ma tâche.

Celle de leur faire voir un autre possible.

Leur faire intégrer que continuer ce qui n’a rien donné ne peut pas marcher.

Et quand j’échoue à ça, je sais que cette personne qui prononce ces petites phrases va s’en retourner à ces habitudes et actions qui ont prouvé ne rien donner, ou si peu.

A l’inverse, pour ceux chez qui la vision a été bien construite et l’engagement acté… 

Certains qui ont “plus avancé en 3 mois que sur les 18 derniers”,

D’autres qui vendent leur premier accompagnement en seulement quelques semaines alors que ca fait 2 ans qu’elles sont certifiées,

D’autres encore qui refusent maintenant des clientes (!) alors que c’était le désert il y a 15 mois.

J’aime croire que je suis bon dans ce que je délivre 🙂 

Mais j’ai la chance d’avoir des client.es de grande qualité

(la très grande majorité est féminine).

Le mérite leur revient.

Elles ont OSÉ y aller.

Elles ont eu cette force de caractère. 

Et tu sais quoi ?

Je me souviens précisément des échanges que j’ai eus avec elles et eux.

Il y avait la peur, l’inconfort, le doute.

Mais il y avait aussi la détermination, l’envie, la foi.

Et quand ces derniers points l’emportent et font taire la peur…

C’est là que la magie opère.

Que l’Univers se met à leur service.

Et que la transformation s’enclenche.

Bien sûr, s’engager n’est que la première étape d’un nouveau chemin.

Nouveau chemin challengeant.

Mais chemin choisi, magnifique et qui ne sera que croissance.

L’important n’est pas de savoir si ce chemin sera pris avec moi ou quelqu’un d’autre.

Mais que ce genre de petites phrases, plutôt que de tuer le génie de chacun,

Se meurent à petit feu.

Pour laisser leur place à d’autres qui amènent bien plus haut.